Ah les belles vacances ! Lorsque l’on est enfant et que l’on rentre en 4eme, on sait que l’on aura droit, en principe, à un voyage scolaire durant l’année. Peut-être ce voyage aura-t-il lieu en Angleterre ou en Espagne, ou simplement en France. Peu importe la destination, l’idée de faire ses valises et de partir en vacances avec les petits copains et les petites copines, nous met déjà tout en émoi, jeune adolescent que nous sommes. D’autant que ce n’est pas gagné d’avance, sachant que certains établissements n’ont pas les moyens d’organiser et de subventionner de tels voyages péri scolaires.
L’ado part à l’étranger avec sa classe
Dans le cas où l’établissement scolaire de votre enfant organise un tel voyage, vous n’aurez pas à tergiverser. Vous vous devez d’offrir à votre enfant la possibilité de partir avec sa classe. Certes, vous appréhenderez, de peur qu’il arrive malheur à votre enfant que vous considérez encore comme votre « petit », ce qui est, somme toute, tout à fait normal, après tout l’enfant n’est encore qu’un tout jeune adolescent. Mais, votre jeune ado préféré vous en voudrait toute sa vie que vous ne l’ayez pas laissé partir en vacances scolaires car ce sont des souvenirs inoubliables de voyage qu’il aurait manqué.
Un encadrement compétent
Vous aurez donc peur qu’il arrive malheur à votre enfant, mais cette peur sera vite dissipée lorsque vous aurez saisi le sérieux de l’encadrement des professeurs qui entoureront les enfants tout au long du voyage, et des personnes compétentes qui auront établis un planning précis du séjour de la classe à l’étranger. Généralement, les enfants seront logés dans des familles d’accueil. Ils ne seront, évidemment pas, laissés à eux-mêmes mais seront surveillés. Des horaires précis devront être respectés lors des « quartiers libres » que les organisateurs accorderont aux enfants de la classe en voyage.
Vous serez, quoi qu’il en soit, certainement rassurée lorsque vous recevrez par la poste une carte postale, un faire-part ou une lettre dans laquelle le jeune vous dira que « tout va bien maman, ne t’inquiète pas ! »